14h41. C'est l'heure de la haute mer, celle qui définit l'heure de la plongée. Pas question d'être en retard à mon rendez-vous avec le club des
aquanautes, marée oblige.
J'enfile ma combi avant de descendre l'escalier étroit qui mène au bord. Attention à la glissade... J'enfile les palmes et me voici à l'eau. Qui est fraîche... et la visi
moyenne, très moyenne. La profondeur dépasse rarement les 10 mètres. Plonger dans le canal fait partie de mes rares incursions sous-marines
sur la côte Atlantique française – hors du contexte des plongées techniques passées au Pays Basque. Il existe pourtant de belles plongées à faire par ici.
✲ Que peut-on y voir?
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L'éponge Clione jaune, Cliona celata |
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Anémone de Biscaye, Bunodosoma biscayense |
Pas toujours facile d'identifier les espèces. D'abord identifié comme un dalhia de mer, Urticina felina quelques recherches supplémentaires m'ont amené vers l'anémone de Biscaye.
Il existe parfois plusieurs noms vernaculaires (ou nom courant), le nom latin permet
alors de s'y retrouver.
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Nudibranche cantabrique, Felicare cantabrica, en goguette |
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Une étrille, Necora puber | | | |
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Rouget de roche Mullus surmuletus |
Le rouget de roche utilise ses barbillons pour fouiller le sable à la recherche de sa pitance. Il est souvent accompagné d'autres poissons qui comptent bien profiter de l'aubaine.
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Un poisson plat prend la texture et la couleur de chaque grain de sable |
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Une seiche Sepia officinalis | |
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