Pas de voiture aujourd'hui. C'est la zone pour se garer dans les villes - même en Espagne. Je vais donc jusqu'à Hendaye ou Handaia où je me fais déposer à la gare pour prendre le train qui mène à San Sebastian ou Donostia, au pays basque espagnol.
L'Euskotren
Dans un recoin du parking de la gare d'Hendaye, une autre petite gare accueille le TOPO ou Euskotren, de son nom officiel. Au départ de toutes les 3' et 33 minutes de chaque heure, ce train emmène les voyageurs, après plusieurs arrêts de stations, à San-Sébastien (en français), San Sebastián (en espagnol) ou Donostia (en basque). Deux moyens de payer le tarif de 5 € l'aller-retour: un guichetier avec son petit accent espagnol prend la monnaie ou une machine pour les CB - au grand dam de certains râleurs.A la gare d'arrivée, un office de tourisme permet de récupérer la carte de la ville et d'obtenir quelques infos - en français, por favor!
Que faire à San Sebastien en 1 jour ?
1 - Architecture
Dès les premiers mètres dans la ville, je tombe en amour devant l'architecture. Surtout ces avancées de fenêtre, style bow window, sur les façades, qui semblent souvent être des vérandas. Au fait qu'elles ont souvent des verrières, peut-être...
2 - Incroyable mais oui, je fais du shopping!
Dans le centro, toutes les marques internationales sont éparpillées au gré des ruelles. Je craque pour un chapeau. Ben voui, à chacun sa petite faiblesse qui le perdra.
3 - La Vieille Ville
Mes pas m'ont amené jusqu'au port et de là, la Vieille Ville et ses ruelles pavées. Au cœur, la Place de la Constitution est une des places la plus connue. Bordée d'arcades, surmontées de fenêtres numérotées. La mairie était propriétaire des balcons et les louait au public comme tribune pendant les fêtes de tauromachie, d'où la numérotation. Elle accueille encore quelques évènements importants telles les cérémonies d'ouverture et de fermeture des fameuses fêtes de San Sébastien ou la fête de Santo Tomás. C'est là aussi que je vais trouver mes fameux pintxos!
4 -Déguster les pinxos
Il y a de nombreux bars. J'ai récupéré une adresse. Sauf que. Il est 14h00, je n'ai pas encore mangé et je ne sais pas si l'adresse recommandée est encore loin. A priori non mais... Tant pis, je m'arrête dans un resto qui propose un pintxo aux champignons: excellent! Dommage, la tortilla paraît fade à côté...
5 - longer la Concha
5 - Le Monte Igueldo
Prendre le funiculaire et monter sur les hauteurs de la ville - 184m - pour contempler " la plus belle vue du monde".
La grande histoire de la carte postale
J'aime bien regarder les cartes postales; elles donnent parfois des idées pour un angle particulier pour prendre une photo ou indique tout simplement un coin/site/intérêt que je n'avais pas noté. Surtout quand je pars à l'improviste ;-) Et je les choisies avec soin - j'y passe pas des heures non plus! - en fonction des personnes à qui je les envoies. Tout comme j'aime bien en recevoir - c'est toujours mieux que la déclaration d'impôt et autres factures. Même si parfois, je les remplace par un mail qui raconte mes péripéties - qui ne tiennent pas toujours sur le dos d'une carte postale ;-) mais qui sont à "effet immédiat".
Aucune difficulté particulière - les gestes servent aussi en Espagne! - ni pour acheter une carte, ni pour le timbre. Là où ça se gâte, c'est quand je veux la poster. Je me rappelle qu'il y a un Correos (Correos/ courrier?!) à côté de l'église. Pas de boîte aux lettres. Hum... A l'intérieur, toujours rien. Les clients semblent tous attendre pour des colis ou envois particuliers (?). Je fais un signe à une guichetière qui me fait signe d'approcher. Je lui laisse ma carte. A peine éloignée de quelques pas, elle me rappelle. Je crois comprendre que le timbre est pour un envoi via une compagnie privée. Bref, pas possible de lui laisser. Aucune ne parlant la langue de l'autre, ni elle celle de Shakespeare, je repars avec ma carte postale; sérieux?! Heureusement, je me rappelle que l'hôtesse de l'office de tourisme de la gare parle français. Information prise, il faut la poster dans les boîtes aux lettres jaunes! *
Aucune difficulté particulière - les gestes servent aussi en Espagne! - ni pour acheter une carte, ni pour le timbre. Là où ça se gâte, c'est quand je veux la poster. Je me rappelle qu'il y a un Correos (Correos/ courrier?!) à côté de l'église. Pas de boîte aux lettres. Hum... A l'intérieur, toujours rien. Les clients semblent tous attendre pour des colis ou envois particuliers (?). Je fais un signe à une guichetière qui me fait signe d'approcher. Je lui laisse ma carte. A peine éloignée de quelques pas, elle me rappelle. Je crois comprendre que le timbre est pour un envoi via une compagnie privée. Bref, pas possible de lui laisser. Aucune ne parlant la langue de l'autre, ni elle celle de Shakespeare, je repars avec ma carte postale; sérieux?! Heureusement, je me rappelle que l'hôtesse de l'office de tourisme de la gare parle français. Information prise, il faut la poster dans les boîtes aux lettres jaunes! *
* mise à jour le 24 juin: la carte postale n'est jamais arrivée!
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Si tu veux laisser un petit message, n'hésite pas...